''Je n'ai strictement rien à dire mais je tiens à ce que ça se sache.'' Jacques Dutronc

Mercredi 12 janvier 2011 à 19:17

Et à chaque fois les feuilles mortes me rapellent de bons souvenirs.
Et peu à peu je m'indifère et cela il n'y a plus rien à faire. Jour après jour les amours morts n'en finissent pas de mourir, s'effacent de mon souvenir.
Mon ennui. Insomnie de la nuit. Dieu pardonne.
Tu fredonnes, m'empoisonnes, m'envahis dans mon lit. Plus personne ne m'étonne , j'abandonne c'est fini.
Ce que tu rigolais, ce que tu portais. Je suis folle, folle, folle de t'aimer.
Les jours qui se suivent (Hélas) se ressemblent à un point.
Je t'aime ? Je t'ai aimé ?
Pauvre de toi, ne pas te surprendre, ne pas t'entreprendre.
Tu ne sais surement pas à quel point je hais ce que tu es. Perfide. Cruel. Tu ne le seras jamais assez.
J'ai pourtant perdu la raison.
Je me morfond sous mes couches de mascara . A chaque mouvement, tu prononces ma mort.
Tu en demandes encore ?
Loyal, Honnête et Droit.
Faut croire que c'est la société qui t'as largement abimé. Des mensonges qui reviennent à l'attaque.
M'en fout c'est pour toi que je tremble. Viens avec moi, brûle avec moi. Wiiiiiizzzzz.
Tu as fait ma peau, mon coeur, mes tripes, il te reste quoi ?
J'embrasse les platanes à gauche à droite.
Après quoi tu es chaos, out.
Je suis à jeun.
Je ne te retiens plus, je ne te tiens même plus. Pars.
Je cherche en vain le mot exact à jamais.
Demain l'amo(u)r.

LIBRE.

Oh je voulais tellement que tu te souviennes cette chanson était la tienne.


Dimanche 2 janvier 2011 à 20:02

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